Asie – Canada L’Asie en nombre
BRICS Nouvelle arme de Moscou ?
Chine – Afrique
- Angola – États-Unis : rapprochement
- Cameroun – États-Unis : mélange des genres
Asie – Mozambique Rassérénés Chine Complicité affichée ? Chine – Afrique Angola : Cabinda Angola : ciblée Angola : financements Tanzanie : ne pas aller trop loin Chine – Brésil : en poste Chine – Brésil : oubliée l’influenza Chine – Brésil : vaches et diplomatie Chine – Monde : Huawei, instrument clé Chine – Mozambique … Lire la suite
BRICS – Chine – Inde Bousculade Chine Cavalier seul Chine – Angola Deuil Chine – Angola Énergie Chine – Australie Renseignement Chine – Brésil Confirmation et équidistance Chine – Brésil. Convictions Chine – Brésil – États-Unis Maïs Chine – Guinée Bissau Étude significative Inde – Burkina Faso Coopération en suspens Royaume-Uni – Chine Inquiétudes Timor oriental … Lire la suite
Asie – Canada L’Asie en nombre
BRICS Nouvelle arme de Moscou ?
Chine – Afrique
En 2022, suivez l’évolution de l’Asie avec un abonnement à Asie21 🎄🎁
GRAPPILLAGES
Chine – Afrique Du FOCAC
Chine – Amérique centrale – Taïwan – Nicaragua Nouvelle défection
Suivez l’évolution de l’Asie avec un abonnement à Asie21 🎄🎁
Chine Subtilités Chine – Brésil Covid-19 oblige Chine – États-Unis La voiture électrique, champ de guerre Chine – Guinée Bissau Opportunisme actif Chine – Portugal Macao bâillonné Chine – Suisse Durcissement Chine – Tanzanie Insistance Corée du Sud – Indonésie Avion de combat Inde – Russie – États-Unis Vers un revirement ? Japon – Australie … Lire la suite
Le confinement général et la fermeture des frontières de la Russie face à la pandémie du coronavirus ont de profondes répercussions sur le marché du travail russe alimenté pour une bonne part par des travailleurs migrants venus des républiques d’Asie centrale.
Xavier Paulès, Les Belles Lettres, novembre 2019
Les 37 ans qui séparent la chute de l’empire des Qing (1912) de la proclamation de la république populaire de Chine (1949) sont la période dite républicaine (民國時代). Cette période met un terme à la trame de l’histoire chinoise des successions dynastiques sur plus de 2000 ans. Ce livre s’efforce de montrer que la victoire du Parti communiste chinois (PCC) en 1949 résulte d’une conjonction de facteurs heureux dont le parti a su tirer profit mais qui ne sont pas de son fait. Ainsi, il n’est plus légitime de lire toute la période à la lumière de la victoire finale du PCC. C’est un choix contestable et difficile, explique l’auteur, mais nécessaire pour faire émerger une interprétation de la période plus équilibrée et redonner toute leur importance aux différents acteurs comme les seigneurs de la guerre ou les technocrates du Kuomintang. De plus, en l’absence d’un pouvoir central fort, le pays enregistre quand même des avancées significatives dans la construction de l’État, du développement économique, de l’éducation et de la vie intellectuelle.
BRICS : Plan crypto Suite à une proposition de la Russie, le Business Council des pays regroupés dans les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) […] Chine – Afrique Angola : argutie La diplomatie chinoise soutient que, contrairement à […] Angola : chemin de fer Isabel dos Santos porte-parole Lors d’un récent séjour … Lire la suite
Tels qu’ils sont réalisés, les projets des Routes de la soie dans certains pays des Balkans sont autant d’obstacles à leur entrée dans l’Union européenne alors que l’intérêt de la Chine serait de disposer d’alliés à l’intérieur de celle-ci. Pékin agirait-il pour le compte de Moscou ?
Une série d’événements, sans coordinations vraiment apparentes les uns avec les autres, amènent à penser que, dans la crise de la mer de Chine méridionale, la Russie pourrait être l’agent susceptible de favoriser en arrière scène la cristallisation d’une situation potentiellement détonante.
A series of events, appearing without obvious bounds with each other, may lead to think that, in the present crisis of the South China Sea, Russia may indirectly become the agent who behind the scene could help to partly freeze a potentially explosive situation.
Le Japon paraît avoir tiré les conclusions des entretiens Abe-Poutine du mois de janvier 2019 1. La Russie a clairement signifié à ses dirigeants qu’il n’était pas question de leur céder des îlots du sud de l’archipel des Kouriles tant que leur pays serait lié aux États-Unis par un traité de sécurité. Le Premier ministre japonais a compris qu’un tel transfert n’aurait pas lieu du temps de son mandat qui expire en 2021.
Japan seems to have drawn the conclusions of the Abe-Putin talks of January 2019 1. Russia has clearly signaled to its leaders that there is no question of giving them islands in the south of the Kuril archipelago as long as their country would be bound to the United States by a security treaty. The Japanese Prime Minister understood that such a transfer would not take place during his term of office, which expires in 2021.
L’incertitude régnait sur le sort de Gulnara Karimova, fille aînée âgée de 46 ans du président ouzbek Islam Karimov mort en 2016, mise en cause en Europe dans plusieurs procédures judiciaires depuis 2012.
Le 29 mai 2018, la Mongolie et la Russie ont annoncé leur intention d’ouvrir des négociations bilatérales afin de conclure un accord de libre-échange économique entre les deux États.
Le sénat du Kazakhstan a ratifié le 19 avril 2018 un protocole d’accord accordant aux États-Unis des facilités de transit par deux ports de la Caspienne pour l’acheminement de ses équipements vers l’Afghanistan. Cet accord conclu en septembre 2017 constitue lui-même un amendement à un accord plus général conclu en juin 2010. Le nouveau texte prévoit que les Américains pourront utiliser les ports d’Aktau et de Kyryk pour y faire transiter leur matériel transporté via l’Azerbaïdjan.
Un article de la précédente Lettre Asie21 publiait sous la plume de Patrick Dombrowsky un article consacré à une Mongolie tentant de se dégager d’une économie fondée sur les ressources considérables de son sous-sol. Celui-ci en prend la suite en évoquant l’arrivée d’une nouvelle équipe gouvernementale. Le président Khaltmaa Battulga et son Premier ministre Khurelsukh Ukhnaa, issus de deux partis opposés, vont devoir assumer une cohabitation, ce qui est loin d’être l’idéal pour conduire une politique économique radicalement différente de l’exploitation de la rente minière des décennies passées. Le tout sous l’œil attentif de Pékin, de Moscou et des grandes compagnies minières internationales.
Le 21 juin 2017, Américains et Chinois ont tenu leur premier dialogue diplomatique et de sécurité à Washington. L’entretien s’est focalisé sur la menace nord-coréenne coréenne et la nécessité de la faire disparaître. Mais aucun engagement réel, d’un côté comme de l’autre, tant attendu de la part de la Chine surtout, n’en a émané. Mais il y a au moins eu dialogue.
FAITS Le 8 août, des troupes géorgiennes pénètrent en Ossétie du sud, région séparatiste située au Nord de la République de Géorgie. Appuyées par des bombardements faisant de nombreuses victimes parmi les populations civiles ossètes, elles prennent le contrôle de la capitale régionale, Tskhinvali. Cette éphémère victoire est rapidement contrée par l’intervention russe : en … Lire la suite