Asie – États-Unis Immigrants
Chine – Afrique
- Angola : le prix de la dette
- Angola : soupçons
- Guinée Bissau : pêche
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Chine – Afrique
Asie – Brésil Balance Entretiens Australie – Russie Opération ? Chine – Afrique Angola : Cabinda martyr Golfe de Guinée – Inde : coopération ? Maroc : tournant Russie – États-Unis : mise en garde Russie – Turquie : ruée Russie – Afrique du Sud : manœuvres Sao Tomé-et-Principe : révision Chine – Inde – … Lire la suite
Le XXIe sommet de l’Organisation de Coopération de Shanghai a certes augmenté le positionnement de ce groupe comme alternative géopolitique aux États-Unis, mais il ne résout pas la question existentielle d’une organisation qui est victime de l’abondance de grandes puissances (forcément rivales) en son sein.
Le Pakistan reste sur la liste grise du Groupe d’action financière car ses actions pour lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme sont jugées insuffisantes
Après le rapport du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale des Nations unies, la nouvelle de l’existence de camps d’internements d’Ouïghours abritant un million d’individus a été commentée par l’ensemble de la presse mondiale. Mais l’aspect géopolitique du problème reste peu évoqué. Étant donné les relations étroites entre la Chine et le Pakistan mais aussi d’autres pays musulmans comme l’Iran, la Turquie ou l’Indonésie, la politique anti-ouïghoure chinoise pourrait pourtant compliquer les relations diplomatiques de Pékin avec ces pays – surtout en cas de crise au Xinjiang.
Following the report of the United Nations Committee on the Elimination of Racial Discrimination (CERD), the news of Uighur internment camps housing a million people was commented by the world’s press. Given the close relations between China and Pakistan but also other Muslim countries such as Iran, Turkey or Indonesia, China’s “anti-Uyghur” policy could nevertheless complicate its diplomatic relations with its countries – especially in the case of crisis in Xinjiang.
Après la bataille de Mossoul, le groupe État islamique, EI, va tenter de se refaire en Asie où vivent près d’un milliard de musulmans. Une stratégie fondée non seulement sur l’action violente mais sur l’utilisation missionnaire des combattants du Moyen-Orient et des travailleurs du Golfe de retour dans leurs pays d’origine, et le recrutement de jeunes musulmans discriminés, notamment en Inde. Le chemin sera tortueux, car sans même compter les armées occidentales, l’EI devra affronter l’hostilité d’Al-Qaïda, de l’Iran et des chiites comme celle des musulmans de la mouvance soufie.
Le Livre blanc peut être considéré comme : l’angle de vue officiel français, selon lequel : l’Asie, moteur économique mondial et creuset de tensions, impose une présence ; l’Asie ne sera pas une terre d’engagement, mais de coopération politico-stratégique ; l’évolution des tensions géopolitiques en Asie est difficilement prévisible ; les États-Unis se recentrent sur la zone Asie-Pacifique ; une problématique … Lire la suite