Annonce puis rétropédalage à Washington.
中美防長在新加坡唇槍舌戰
Le Dialogue de Shangri-La a été une occasion de multiples rencontres bilatérales. La situation dans le détroit de Taïwan y a attiré l’attention internationale, plus que la situation en Ukraine : Taïwan a été davantage mentionné que les années précédentes par les États-Unis et la Chine mais aussi par l’Australie et le Japon. La confrontation sino-américaine s’est intensifiée avec leurs profondes divergences de visions et de valeurs régionales mais les deux parties cherchent à maintenir une relation stable pour éviter des conflits.
Les aspirations hégémoniques chinoises en mers de Chine et les tensions avec la Corée du Nord obligent le Japon à repenser la structure de son industrie de défense.
À l’issue d’une campagne électorale très animée, l’opposition conservatrice a remporté de justesse les élections présidentielles du 9 mars 2022 en Corée du Sud. Âgé de 61 ans, catholique, le nouveau président Yoon Seok Yeol, procureur général sous le gouvernement précédent, entrera en fonction le 10 mai. Réputé pour ses prises de position radicales, il a contribué à envoyer en prison trois anciens présidents sud-coréens. Estimant que les femmes coréennes ont assez de pouvoir, il veut notamment supprimer le ministère de l’Égalité hommes-femmes. Il envisage aussi d’augmenter sensiblement la durée hebdomadaire du temps de travail, actuellement de 52 heures.
Bangladesh Coton Chine – Afrique Angola : accord Angola : dette Madagascar : riz Japon – Mozambique Aide militaire indirecte Macao Forum Russie – Chine gaz Timor oriental Port de Tirar Extrait de la Lettre confidentielle Asie21-Futuribles n° 160/2022-04 abonnement en ligne
斐洛西取消訪問台灣
À l’occasion du 43e anniversaire du Taiwan Relations Act (TRA*) signé en 1979, la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, avait l’intention de se rendre à Taipei pour démontrer, comme a pu dire le MOFA*, le soutien du Congrès américain à Taïwan ainsi que l’importance qu’il attache aux relations américano-taïwanaises. Il y a déjà eu un précédent (3e crise dite du détroit de Taïwan 1995-1996) lorsque Lee Teng-hui, alors président de la république de Chine (Taïwan) s’était rendu aux États-Unis pour une réunion d’anciens élèves de l’université Cornell (9 juin 1995) : en réponse, Pékin avaient envoyé deux salves de missiles balistiques, une au nord et l’autre au sud de Taïwan, au large des côtes, comme un avertissement.
Chine – Afrique Médiation dans la Corne ? Angola – États-Unis : cuivre Mali – Corée du Sud : blindés à tout va Madagascar : avancées Sao Tomé-et-Principe : mandarin et pingpong, armes non létales Du boeuf au poulet Chine – Brésil Mode Chine – Russie – Ukraine Blé Une aubaine Inde – Mozambique Rapts Japon – Madagascar Chacun … Lire la suite
Dans une interview accordée le 3 mars 2022 à la radio1, Wu Sz-huai – général (ER), député (KMT) et membre de la Commission nationale de Défense du Yuan législatif – analyse la situation géopolitique actuelle du détroit de Taïwan souhaitant jouer pleinement son rôle d’opposition dans un pays démocratique, face à un gouvernement (DPP) qui le qualifie de « rouge ».
La réunification interdétroit est un objectif de Xi Jinping mais il n’a jamais fixé de calendrier. Selon le professeur Jin Canrong*, universitaire chinois, le gouvernement recommanderait 2027 comme date de réunification. Il déclare que « l’APL pourra vaincre n’importe quelle force armée américaine à moins de 1000 milles nautiques des côtes chinoises. ».