Birmanie – Inde. Flotte sous-marine
Chine – Afrique
Les agences de presse occidentales, reprises par la plupart des médias, ont rapporté la remontée dans ses filets, le 20 décembre 2020, d’un engin de 100 kg, par un pêcheur indonésien au large des îles Selayar.
Chine Mise à profit de Macao pour le Davos chinois Chine – Angola L’aéroport de Luanda, enfin ! Chine – Cap Vert Fierté Chine – Golfe de Guinée Toujours le piratage Chine – Brésil Un jeu dangereux Chine – France BYD en flèche Chine – Macao – Cap-Vert Tribulations d’un Chinois de Macao Cambodge – … Lire la suite
Dimanche 15 novembre dernier, 15 pays d’Asie et d’Océanie ont signé l’accord de Partenariat régional économique global (Regional Comprehensive Economic Partnership – RCEP, agreement), lors de la clôture du sommet virtuel de l’ANASE (Association des nations d’Asie du Sud-Est, en anglais ASEAN-Association of Southeast Asian Nations).
On Sunday November 15, fifteen countries in Asia and Oceania signed the Regional Comprehensive Economic Partnership (RECP) agreement, during the closing of the virtual summit of ASEAN (Association of Southeast Asian Nations).
La note verbale commune adressée à l’ONU le 16 septembre 2020 par l’Allemagne, la France et le Royaume uni, pour défendre l’intégrité du droit de la mer en mer de Chine du Sud, a été saluée par la presse du monde libre comme un acte de courage des trois grands européens face au refus insistant de Pékin de se conformer au dit droit dans l’espace marin concerné. Cet élan d’enthousiasme a malheureusement conduit à une interprétation partiellement erronée de l’initiative européenne.
The verbal note conveyed to the United Nations on September 2020 the 16th by Germany, France, and the United Kingdom, in order to defend the integrity of the law of the Sea in the South China Sea, has been hailed by the free world’s press as an act of courage from the part of the three European bigs in front of Peking insistent refusal to abide by that law over the concerned area. That burst of enthusiasm has unfortunately lead to a partially distorted interpretation of the European initiative.
L’épidémie et la crise économique provoquent une contraction du commerce mondiale et ralentiront la dynamique des échanges de biens et services pendant plusieurs années.
Divers incidents récents prouvent que les Chinois n’hésitent pas à utiliser des armes à rayons lasers contre les aéronefs américains et australiens, dans n’importe quel secteur du monde où ceux-là considèrent faire l’objet de recherche agressive de renseignement militaire à leur encontre.
Some recent incidents demonstrate that the Chinese do not waver to use laser beam weapons against American and Australian aircrafts, anywhere in the World when they consider being targeted by offensive military intelligence activities from others.
« Reviens-t-en, soldat britannique ; reviens-t-en à Mandalay ! » (R. Kipling)
La nouvelle maladie à Coronavirus appelée désormais COVID-19 (après avoir été appelée « Pneumonie de Wuhan » et SARS-CoV-2 a touché plus de 150 000 personnes dans plus de 100 pays dans le monde et entraîné la mort de plus de 5 000 personnes. Dépassé au départ par les critiques internes des habitants du pays, le Parti communiste chinois a décidé de contre-attaquer en ciblant son meilleur ennemi et son bouc-émissaire multi-fonction : l’Occident à la fois accusé d’avoir créé le virus et moqué pour son incapacité à y faire face.
中國對抗疫情擴散實施隔離-新冠肺炎重創經濟
La crise sanitaire que traverse la Chine pourrait conduire à une réévaluation du risque Chine et à une inflexion du régime de croissance.
Européens et Américains considèrent habituellement comme étrange le comportement qui consiste à nouer des relations durables et confiantes avec des partenaires entre lesquels règne une rivalité manifeste (« qui n’est pas avec moi est contre moi »). Aussi sont-ils étonnés d’apprendre qu’il n’en va pas toujours de même dans la sphère asiatique. Une brève revue de l’ambivalence – mot ici dépourvu de sa valeur fréquemment péjorative – a été publiée récemment1. Ici, deux exemples, Singapour et Thaïlande, illustrent le souci d’équilibre que les pays d’Asie du Sud-Est tiennent à conserver dans leur coopération de défense entre les deux grandes puissances.
歐美國家總認為,要保持長期結盟而又相互信賴,對於相互競爭的國家 而言,是不可思議的事,但是,在亞洲卻並非如此。東南亞國家的國防軍備,同時和中美兩個大國合作,以達到其維持平衡的目的。新加坡與泰國即為兩個實例。
Europeans and Americans regard as strange the behavior of building long-lasting and trusting relationships with partners between whom there is a clear rivalry (« who is not with me is against me »). So they are surprised to learn that it is not always the same in the Asian sphere. A brief review of ambivalence – a word here devoid of its frequently pejorative value – has been published recently *. Here, two examples, Singapore and Thailand, illustrate the balance that the Southeast Asian countries want to maintain in their defense cooperation between the two great powers.
Une série d’événements, sans coordinations vraiment apparentes les uns avec les autres, amènent à penser que, dans la crise de la mer de Chine méridionale, la Russie pourrait être l’agent susceptible de favoriser en arrière scène la cristallisation d’une situation potentiellement détonante.
A series of events, appearing without obvious bounds with each other, may lead to think that, in the present crisis of the South China Sea, Russia may indirectly become the agent who behind the scene could help to partly freeze a potentially explosive situation.
DOSSIER SPÉCIAL INDO-PACIFIQUE acheter le numéro Préambule Catherine Bouchet-Orphelin, Asie21 Indo-Pacifique Entre deux puissances, Rémi Perelman, Asie21 Portrait d’un monde tiraillé entre Washington et Pékin L’Inde Sri Lanka L’ASEAN L’Indonésie La Malaisie Le Vietnam Les Philippines La Birmanie La péninsule coréenne Le Japon Le Golfe Dans l’océan Indien L’Australie Les petits États insulaires du … Lire la suite
Guo Taiming, le patron de Foxconn, a quitté le Kuomintang, ce qui lui permettait de rester dans la course aux élections présidentielles de manière indépendante. Il avait été battu lors des primaires du Parti par Han Guoyu.
2019年9月13日,郭台銘宣布退出國民黨,如此一來他就可以用獨立參選人的身份,角逐中華民國總統大位。當大家都認為他會以第三勢力出現時,2019年9月16日深夜,他又宣佈不再角逐2020年一月的總統大選,此舉令全台灣震驚!
L’affaire prend des proportions qui n’apparaissaient pas à ses débuts.
The clash takes on proportions that did not appear initially.
El asunto adquiere proporciones que no aparecieron en sus principios.
O caso toma dimensões que no apareciam no começo.
FAITS
C’est pour écarter des risques de cybersécurité avérés, et potentiellement désastreux, que le Congrès des États-Unis a adopté, en 2018, une loi écartant les entreprises chinoises du marché informatique fédéral, le premier au monde. Plutôt que de rechercher un compromis, la société Huawei, à tout le moins encouragée par le gouvernement chinois, a engagé le fer avec le gouvernement américain. Ce combat absurde a été perdu aussitôt qu’engagé. Il ne reste plus aux matériels informatiques chinois que des marchés de second rang.
With a view to address effective and potentially lethal cyber-security risks, the US Congress passed a law meant to ban Chinese companies from the federal market, the first in the world. Rather than compromise, Huawei, supported at least by the Chinese Government, started a duel with the US Government. The fight was a nonsense, lost as soon as engaged. The Chinese computing is left with second class markets.
Si la base aéronavale de Diego Garcia devait, à terme, être fermée comme conséquence du retour de l’archipel des Chagos à la souveraineté de la république de Maurice, les États-Unis devraient rechercher une position leur permettant de rester présents dans l’océan Indien face aux visées chinoises. Différentes raisons s’opposent a priori à une installation de repli dans l’une des îles australiennes des Cocos (Keeling).
If the Naval Air Station of Diego Garcia were eventually to be closed as a result of the return of the Chagos Archipelago to the sovereignty of the Republic of Mauritius, the United States should seek a position to remain in the ocean Indian face Chinese targets. There are a number of reasons to oppose a fallback installation in one of the Australian islands of Cocos (Keeling).
Au cours de mars 2019 et début avril 2018, en mers de Chine de l’Est et du Sud, autour de Taiwan aussi, un certain nombre d’activités militaires, américaines, chinoises, japonaises, taiwanaises, inquiètent en raison des caractères de vigoureux défis que les uns et les autres se lancent. Cependant, aussi préoccupantes que paraissent être les tensions générées, elles n’ont pas pour autant entraîné d’incidents armés. Même si chacun continue à se toiser, l’heure reste encore à la retenue.
During March and the beginning of April 2019, in the East and South China seas, around Taiwan, a certain number of American, Chinese, Japanese, Taiwanese military activities are raising concern because of the aspects of the vigorous challenges that the different parties are holding up towards each other. Yet, however preoccupying the tensions generated from such activities, they did not derive into any armed clashes. Even if each one continues to show defying attitudes, for the time being everyone seems to opt for restraint.
Asie Règne du conteneur
Pendant les premières années qui ont suivi leur lancement, les Singapouriens sont restés discrets sur les Routes de la soie. Jusqu’en 2017, le Premier ministre Lee Hsien Loong qui n’a pas participé au premier grand sommet réuni en son nom (Pékin, mai 2017), ne s’est pas prononcé à son sujet sans que l’on sache s’il s’agissait d’inquiétude (d’être contournés), d’analyse (des opportunités) ou de calcul des risques. Ce qui est sûr est que ses équipes travaillaient activement à définir une position. 2018 marque une claire rupture : après avoir rencontré à plusieurs reprises le président Xi Jinping et le Premier ministre Li Keqiang, Lee Hsien Loong dévoile ses cartes et intentions. Singapour prétend au rang de hub financier régional pour la BRI en Asie du Sud-Est. Il apporte au projet de Xi Jinping une caution nécessaire – et appréciée – après les déboires dénoncés par le Premier ministre de Malaisie, Mahathir.
新加坡對中國發起的絲綢之路,最初似乎興趣不大,甚至一直到2017年5月,"一帶一路"首屆高峯會在北京舉行時,李顯龍總理都沒有參加,他對這個主題,噤口不言,是因為心存顧忌,還是在分析機遇,或是在計算風險,沒有人知道他究竟怎麼想。但是可以確定的,乃是他的團隊已積極的在筹劃,新加坡未未究竟要採取什麽立場?2018年,新加坡的態度已與過去截然不同,在與習近平主席及李克強總理多次會談後,李顕龍終於亮出底牌,展示企圖,此即新加坡打算成為"一帶一路"在東南亞地區的金融中心 。當習近平對馬來西亞縂理馬哈蒂的表現,頗為失望時,李顯龍的適時表態,及提供必要的擔保,當然獲得激賞。
par le général [2s] Daniel Schaeffer, Asie21
Note préalable : À la lumière des événements relatifs aux négociations en cours sur un code de conduite des parties en mer de Chine du Sud, cet article est la version profondément remaniée et mise à jour de plusieurs autres de l’auteur, sur le même sujet, déjà parus sur divers supports, dont avant tout les publications d’Asie21 (www.asie21.com), mais aussi diploweb.com et Asie Pacifique News[1].
Depuis l’incident naval survenu le 30 septembre 2018 entre une frégate américaine, l’USS Decatur et un navire lance-missile chinois, le Lanzhou, dans le secteur des rochers South Johnson et Gaven, occupés, aménagés et militarisés par les Chinois dans les Spratleys, la période écoulée depuis la date de l’incident se caractérise par des invectives, des menaces réciproques d’amplification d’actes agressifs. Mais en même temps s’affichent des velléités de dialogue afin de tenter de circonscrire les risques d’escalades armées.
L’influence, réelle ou supposée, de la Chine dans les pays où ses sociétés investissent ou s’implantent est devenu un sujet électoral majeur dans de nombreux pays. Australie, Malaisie, Kirghizistan, Burkina Faso etc., les exemples se multiplient. Si certains s’emparent de façon opportuniste du sujet, il n’en demeure pas moins que les conséquences sont loin d’être négligeables pour Pékin.
Pékin considère que le navire britannique de transport de chalands de débarquement (TCD) HMS Albion, en provenance du Japon et en route vers Ho Chi Minh Ville, au Vietnam, a violé la mer territoriale chinoise en transitant à proximité des îles Paracels le 31 août 2018. En lançant la polémique sur une réalité non avérée, les Chinois procèdent à un chantage qui vise à inciter les Britanniques à abandonner leur soutien aux opérations internationales de défense de la liberté de la navigation en mer de Chine du Sud.
Peking considers that the British amphibious transport dock HMS Albion, coming from Japan and on her way to Ho Chi Minh City, in Vietnam, violated the Chinese territorial sea when transiting in the vicinity of the Paracels islands on the 31rst of August 2018. By launching a controversy about an unproved reality the Chinese are resorting to a kind of blackmail the purpose of which being to entice the British to give up their support to the international operations of defense of freedom of navigation in the South China Sea.
Depuis son élection en mai 2018, Mahathir, le nouveau premier ministre malaisien, a multiplié les attaques contre les projets chinois. Alors qu’il avait déjà remis en cause et gelé un certain nombre de grands projets chinois en Malaisie, notamment ferroviaires, signés par son prédécesseur, et s’était rendu au Japon pour sa première visite officielle, ses dernières déclarations sur le projet Forest City viennent enfoncer le clou.
Since his election in May 2018, Mahathir, the new Malaysian prime minister, has regularly criticized and targeted Chinese projects. While he had already questioned and frozen a number of major Chinese projects in Malaysia, including railways, signed by his predecessor, and had traveled to Japan for his first official visit, his latest statements on the Forest City project increase even more the pressure on Chinese projects.
Le 2 août 2018, lors de la déclaration d’ouverture de la 51e réunion des ministres des Affaires étrangères des dix pays de l’ASEAN (MAE ASEAN) et de la Chine, à Singapour, a été annoncée l’adoption d’une ébauche commune unique de code de conduite des parties (COC) en mer de Chine du Sud. Cet événement a été salué comme un débouché majeur vers les négociations à venir. Mais tant que la Chine maintiendra le tracé en neuf traits pour délimiter ses prétentions en mer de Chine du Sud, les dix pays de l’ASEAN vont finalement négocier avec Pékin le système des sanctions qui s’appliqueront contre eux dès lors que, bien qu’opérant dans leurs propres zones économiques exclusives (ZEE), ils exerceront leurs activités dans la « langue de buffle ». Parce qu’ils seront ainsi considérés par la Chine comme contrevenant au COC.
Le docteur Mahathir est revenu au pouvoir et l’économie est sa priorité.
CHINE – AFRIQUE
Des 1er au 3 juin 2018 s’est tenu le Dialogue du Shangri-La (SLD), réunion annuelle des hauts responsables à la défense à Singapour. Avec la question nord-coréenne et celle de la mer de Chine du Sud, les risques d’accrochage ne manquaient pas. Pourtant, cette édition a aussi largement tourné autour du concept – toujours débattu – d’Indo-Pacifique. Narendra Modi, Premier ministre de l’Inde, a ouvert le dialogue et promu des règles pour la stabilité et la sécurité. Au-delà des appels consensuels à la coopération et au dialogue, une certaine tension mais aussi effervescence étaient palpables.
Mer de Chine du Sud – Chine – Camp du droit international de la mer.
Les accusations de militarisation des îles et autres sites occupés par Pékin en mer de Chine du Sud ne cessent pas. Les États-Unis profèrent des menaces. Mais si celles-ci ne sont pas suivies de quelques effets significatifs, Pékin poursuivra résolument sa stratégie d’appropriation du bassin marin.
Canberra récuse la stratégie d’assimilation territoriale que Pékin pratique en mer de Chine du Sud. Et la Chine n’accepte pas, de son côté, une telle insoumission de la part de l’Australie.
Un nouveau dispositif sous régional de coopération baptisée Our Eyes’ Intelligence Initiative, OEI, suscité par l’Indonésie pour améliorer la lutte contre le terrorisme a été lancé par six États membres (Brunei, Indonésie, Malaisie, Singapour, Thaïlande, Philippines) à Bali le 25 janvier 2018.
La croissance est la plus faible de l’ASEAN et la Thaïlande attire moins les investisseurs
Sans se laisser impressionner par qui que ce soit, et face à l’impuissance des pays d’Asie du Sud-Est, la Chine a, entre juin et décembre 2017, poursuivi de manière spectaculaire ses travaux d’aménagement, notamment militaire, des plateformes artificielles créées par ses soins en mer de Chine du Sud à partir de 2013. C’est ce dont rend compte le journal philippin l’Inquirer en publiant, le 5 février 2018, une série inédite de photographies aériennes destinées à démontrer une réalité qui était jusque-là dénoncée sans apport concret de preuves, du moins à la connaissance du grand public.
Tableau militaire de la région indo-pacifique Éléments documentaires Rémi Perelman, Asie21, mars 2018 Le déploiement militaire en Indo-Pacifique, notamment maritime Une région lourdement armée. Les acteurs présents dans cet espace composite qui se recompose sont engagés dans des relations complexes qui en font un foyer d’instabilité mondiale. On y trouve en effet – à … Lire la suite
Philippins et Chinois s’apprêtent à coopérer, avec un troisième partenaire, dans l’exploration-exploitation du pétrole dans un secteur non contesté en mer territoriale des Philippines. Cependant, il est peu probable que les conditions dans lesquelles devrait être exécuté le contrat, qui attend l’aval du président Duterte, puissent être reproduites lorsque les projets porteront sur les secteurs situés en zone économique exclusive (ZEE) des Philippines, mais par ailleurs inscrits à l’intérieur du tracé chinois en neuf / dix traits.
Le 3 novembre 2017, la Chine a commencé les essais à la mer d’une nouvelle drague géante, Tian Kun Hao. La perspective de l’entrée et de l’emploi futurs d’un tel engin en mer de Chine du Sud inquiète les pays de la région, notamment les Philippines.
Le réchauffement remonte à juin 2017 lorsque Vivian Balakrishnan, ministre singapourien des Affaires étrangères, se rend à Pékin les 11 et 12 et discute avec son homologue du projet de coopération bilatérale dans le cadre du programme chinois des nouvelles Routes de la soie.
Déjà le 24 juin 2014, à l’occasion d’un discours prononcé devant le Conseil des Affaires étrangères à Washington, Lee Hsien Long李显龙, soutenant que tous les conflits maritimes devaient se régler sur la base du droit international, fait valoir dans une formule brève mais percutante que « force ne fait pas droit ».
Réduites depuis au moins deux ans, les relations entre Singapour et Pékin se réchauffent sous l’impulsion du gouvernement Xi Jinping qui voit arriver avec inquiétude la cité-Etat à la présidence de l’ASEAN le 1er janvier 2018. Cette inquiétude est essentiellement fondée sur le fait que Singapour ne voudra pas tergiverser à propos de la problématique de la mer de Chine du Sud, et voudra refaire l’unité de l’ASEAN sans pour autant que soient trop endommagées les relations entre l’Association et Pékin.
Le groupe JS Izumo est commandé par le contre-amiral Yoshihiro Goga.
Trois mois en mer, avec escales, essentiellement en mer de Chine du Sud, pour le groupe naval JS Izumo et JS Sazanami, pour aguerrissement, mais aussi et surtout pour marquer, aux côtés des États-Unis, l’implication japonaise dans la volonté commune de maintenir, face à la Chine, l’inaliénable droit de la navigation internationale en haute mer.
Chine – Amérique latine : Un enjeu Tandis que Donald Trump conduit une politique hostile à l’encontre de l’Amérique latine […] Chine – Amérique latine : Triste constat Les médias d’Amérique latine relèvent, non sans une certaine amertume, que […] Chine – Angola : Encore un prêt La Banque de développement de Chine[…] Chine – … Lire la suite
Visites. Du 12 au 17 janvier 2017, Shinzo Abe, le Premier ministre japonais, s’est rendu successivement aux Philippines, en Australie, en Indonésie et au Vietnam alors que les États-Unis de Trump annoncent leur volonté de se désengager de l’Asie. Ces visites successives avaient deux objectifs : d’abord resserrer les liens du Japon avec ces pays en matière de sécurité et de développement économique. Le renforcement du partenariat nippo-australien, deux alliés historiques de Washington, comprends l’intensification de la coopération militaire, notamment navale, avec les pays de l’ASEAN et sans doute avec l’Inde.
À la faveur du durcissement des relations américano-philippines, Pékin renforce l’emprise de son influence sur Manille.
par le général Daniel Schaeffer, membre du groupe Asie21, article paru dans la revue Défense de l’IHEDN d’avril 2009, publié ici avec son aimable autorisation Contrairement à l’idée répandue à l’envi au travers de la propagation de ce poncif qui a pris corps autour de l’histoire des 7 expéditions navales conduites par l’amiral Zheng He … Lire la suite