Chine Une certaine AMDT
Chine – Afrique
- Concurrence
- Angola : corruption
- Angola : Inquiétudes
- Angola : terrorisme
- Sao Tomé-et-Principe – États-Unis : efforts
- Guinée équatoriale : raffinerie
- Madagascar : pas à pas
- Zimbabwé – Inde : granit noir
Chine Une certaine AMDT
Chine – Afrique
Le ministère des Affaires étrangères russe a annoncé le 21 mars 2022 qu’il arrêtait les pourparlers avec le Japon en vue de la conclusion d’un traité de paix en raison de l’impossibilité de signer un document avec un pays qui manifeste ouvertement des positions inamicales à son égard. Cette déclaration faisait suite à la décision du Premier ministre japonais Fumio Kishida de s’associer aux nouvelles sanctions prises contre la Russie le 16 mars à la réunion du G7. Cette mesure met fin au statut de nation la plus favorisée, ce qui entraîne l’augmentation des droits de douane sur les marchandises russes importées. Déjà le Japon avait restreint l’exportation vers la Russie de semi-conducteurs et de produits de haute technologie. M. Kishida a fermement condamné l’intervention russe en Ukraine et offert l’asile aux réfugiés ukrainiens qui arriveraient au Japon. Des cours de langue japonaise pourraient leur être dispensés.
Chine – Australie – Afrique Les besoins en lithium font bouger les lignes Chine – Inde – Mozambique – Autres pays Graphite Chine – Japon – Inde – Mozambique Engagements Chine – Japon – Mozambique – Autres pays Barrage en vue mais lointaine Chine – Suisse À la peine Chine – Suisse Reprise Chine – … Lire la suite
Australie – CPLP. Candidature L’Australie vient de déposer sa candidature pour intégrer la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP) en tant qu’observateur.[…] Chine – Mozambique – Chine Pékin bienvenu Le Mozambique, qui compte des réserves de pétrole et de gaz si élevées qu’il est désigné comme le « Qatar africain », a néanmoins des difficultés à … Lire la suite
Chine Li Min vise juste Chine – Afrique Déception chez l’un, prudence chez l’autre Chine – Amérique latine – Caraïbes Poursuite de l’approche Chine – Brésil Un client en or Chine – Brésil – États-Unis Soja Sao Tomé-et-Príncipe – Chine Le rapprochement se précise Extrait de la Lettre confidentielle Asie21-Futuribles n° 157/2022-01 abonnement en … Lire la suite
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« J’ai vu le démon de la violence, et le démon de l’avidité, et le démon du désir brûlant. » J. Conrad
Les États-Unis, revenus dans l’Accord de Paris, ont fait basculer l’agenda climatique : la priorité aux réduction des émissions de GES* remplace l’adaptation des pays en voie de développement aux impacts du changement climatique. Il faut maintenir la croissance et l’associer au bien être. Les pauvres ont été oubliés dans la droite ligne de Kissinger qui parlait du basket case dès 19741 . Il faut se méfier des pauvres, ils sont de plus en plus nombreux car ils font des enfants et ils migrent! De plus, la covid19 montre qu’ils peuvent constituer une nuisance plus forte encore que le CO2. Assumer son passé pour gérer l’avenir de la terre devrait être la règle.
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Afghanistan – Angola Fermeté
Chine – Brésil
Chine – Canada Vers un changement ?
Chine – France Influence
La Chine était devenue jusqu’en 2020 le principal client de l’Australie. Les déclarations politiques en début 2020 de son Premier ministre Scott Morrison sur Huawei, suivies de celles sur l’origine de la covid-19 ont déclenché une guerre commerciale. Les conséquences sont dévastatrices pour les exportations australiennes agricoles et minières.
En engageant l’Australie dans le « schéma chinois » des États-Unis, le Premier ministre Scott Morrison vient de mettre son pays à mal. Les sous-marins nucléaires anglo-américains dont l’Australie doit être dotée ne seront pas en ligne avant dix à quinze ans, s’ils sont effectivement construits, ce dont on peut douter. En attendant l’Australie reste seule et nue soumise aux sanctions chinoises : elle perd ce marché et ses échanges extérieurs sont désorganisés ; le pays est ouvertement menacé par la Chine de frappes conventionnelles et à terme nucléaires. Car voici, non sans raisons l’Australie dénoncée comme une puissance nucléaire virtuelle. Cela, en échange d’une protection illusoire car l’Australie ne sera pas défendue en cas de crise. Au total, une mauvaise affaire et une grave crise politique prévisible en Australie.
By committing Australia to the “Chinese scheme” of the United States, Prime Minister Scott Morrison has just undermined his own country. The Anglo-American nuclear submarines, which Australia is to be equipped with, will not be operational for ten to fifteen years, if they are built, which is doubtful. In the meantime, Australia remains alone and nude, subject to Chinese sanctions: it is losing this market and its foreign trade is disorganized; the country is openly threatened by China with conventional and eventually nuclear strikes. For here, not without reason, Australia is denounced as a virtual nuclear power. And this in exchange of an illusory protection, because Australia will not be defended in case of crisis. All in all, a bad deal and in the long run, a serious political crisis predictable in Australia.