Le sommet 2025 des BRICS1, le 17e, s’est tenu au Musée d’art moderne de Rio de Janeiro les 6 et 7 juillet 2025.
Global Times
Taïwan – Chine – États-Unis : Acte II scène 3, Un exercice militaire sans nom1. Point de rupture stratégique ?
L’APL n’a pas officiellement annoncé d’« exercices militaires » dans le détroit de Taïwan mais y a déployé des avions et des navires militaires. Selon Taipei, le nombre est « étonnant » et l’ampleur de l’exercice suffisante pour « empêcher d’autres pays d’intervenir ». Wellington Koo* a déclaré qu’il surveillerait de près la possibilité de l’APL* de « passer de l’entraînement au combat ». Selon le Global Times*, d’après des images satellite, il y a eu une « confrontation intense avec au total 10 navires de guerre dans le détroit» . En réalité, 5 destroyers 052D et frégates 054A de la marine chinoise ont fait face à 5 navires de guerre taïwanais mais seulement en observation et à distance.
Chine – États-Unis : Menace chinoise d’attaques par armes à énergie dirigée
Divers incidents récents prouvent que les Chinois n’hésitent pas à utiliser des armes à rayons lasers contre les aéronefs américains et australiens, dans n’importe quel secteur du monde où ceux-là considèrent faire l’objet de recherche agressive de renseignement militaire à leur encontre.
Some recent incidents demonstrate that the Chinese do not waver to use laser beam weapons against American and Australian aircrafts, anywhere in the World when they consider being targeted by offensive military intelligence activities from others.
Chine – Australie : L’Australie malvenue en mer de Chine du Sud
Canberra récuse la stratégie d’assimilation territoriale que Pékin pratique en mer de Chine du Sud. Et la Chine n’accepte pas, de son côté, une telle insoumission de la part de l’Australie.
Chine – Singapour – ASEAN : la prochaine présidence singapourienne de l’ASEAN tracasse Pékin
Réduites depuis au moins deux ans, les relations entre Singapour et Pékin se réchauffent sous l’impulsion du gouvernement Xi Jinping qui voit arriver avec inquiétude la cité-Etat à la présidence de l’ASEAN le 1er janvier 2018. Cette inquiétude est essentiellement fondée sur le fait que Singapour ne voudra pas tergiverser à propos de la problématique de la mer de Chine du Sud, et voudra refaire l’unité de l’ASEAN sans pour autant que soient trop endommagées les relations entre l’Association et Pékin.