Délinquance
À l’occasion de la venue du pape à Fatima les 12 et 13 mai 2017,
Alors qu’autour du 11 juin 2017 à Walvis-Bay, un nouveau cargo chinois […] Jorge Lusaf, Asie21 Extrait de la Lettre confidentielle Asie21-Futuribles n°107 juin 2017 La suite de l’article est réservée aux abonnés.
Les autorités d’Afrique du Sud ont demandé à la présidence de Namibie des explications sur la présence dans leur pays de dépôts d’armes chinoises destinées à être vendues sur le continent. […] Jorge Lusaf, Asie21 Extrait de la Lettre confidentielle Asie21-Futuribles n°107 juin 2017 La suite de l’article est réservée aux abonnés.
Un incident naval est survenu ces jours derniers aux alentours des eaux territoriales de Sao Tomé-et-Principe.
Cui Aimin, ambassadeur de Chine en Angola, vient de signer le pardon par son pays d’une dette du gouvernement angolais d’un total de 12,7 millions d’euros.
La presse internationale tend désormais à ranger le Premier ministre indien Narendra Modi dans le groupe des dirigeants populistes ou adeptes de la démocratie « illibérale », comme Vladimir Poutine, le président turc Erdogan, le Premier ministre hongrois Viktor Orban ou encore le président américain Donald Trump.
Les pays d’Asie du Sud sont regroupés au sein de la South Asian Association for Regional Cooperation (SAARC) mais restent peu intégrés sur le plan politique comme sur le plan économique. Les tensions entre l’Inde et le Pakistan en sont la cause principale et ne sont pas près de disparaître.
Le 29 mai 2017, le président Rodrigo Duterte a décrété la loi martiale à Mindanao (où vivent 20 millions d’habitants à 80 % musulmans) où des groupes rebelles se réclamant de Daech font régner la terreur. Le monde réalise avec inquiétude que l’État islamique considère cet archipel, ainsi que la Malaisie et l’Indonésie voisines, comme des nouveaux espaces d’expansion.
Longtemps tenue à l’écart au profit de Taïwan, la Chine, pas plus tôt reconnue, s’empresse de tirer profit des avantages géostratégiques qu’offre ce minuscule État-archipel du golfe de Guinée qui n’essuie auprès d’elle aucun refus.
Vingt-neuf chefs d’État et 1 200 délégués de 100 pays ont participé les 14 et 15 mai 2017 à Pékin au Forum sur les nouvelles Routes de la soie, le « projet du siècle » proposé par la Chine. Faut-il en avoir peur ?
Le 20 mai 2017 ont eu lieu en république de Chine (Taiwan) les élections anticipées du nouveau dirigeant du KMT, aujourd’hui dans l’opposition, la présidente Tsai Ing-wen appartenant au DPP. La présidence du KMT reste un poste important car si le parti est affaibli, il demeure à la fois le principal parti conservateur traditionnel et le premier partenaire politique de la Chine continentale (du fait de la volonté du parti communiste chinois de marginaliser le DPP).
Le géant chinois Huawei ne fera-t-il qu’une bouchée de ce secteur au Cap-Vert ?
En janvier 2016, un fonds d’investissement chinois s’installait à Londres pour susciter les start-up technologiques nécessaires aux besoins d’innovation de la nouvelle économie chinoise. Pour leur part, les universités chinoises sont priées d’essaimer à l’étranger pour former l’expertise qui leur sera indispensable. Après une implantation en Malaisie (université de Xiamen), le département de gestion de l’université de Pékin, la HSBC Shenzhen Business School, va ouvrir en 2018 un enseignement de 3e cycle en finance, gestion et économie dans un manoir proche d’Oxford.
Lors des Assemblées annuelles du groupe de la Banque africaine de développement (BAD) en mai 2017, l’Inde et le Japon ont rendu public un document conjoint sur une vision commune d’un Corridor Asie-Afrique pour la croissance (Asia-Africa growth corridor – AAGC).
Le 29 mai 2017, le président Rodrigo Duterte a décrété la loi martiale à Mindanao (où vivent 20 millions d’habitants à 80 % musulmans) où des groupes rebelles se réclamant de Daech font régner la terreur. Le monde réalise avec inquiétude que l’État islamique considère cet archipel, ainsi que la Malaisie et l’Indonésie voisines, comme des nouveaux espaces d’expansion.
Le rachat de 49 % de Proton par le constructeur chinois Geely marque la fin de l’histoire de la voiture nationale malaisienne. Il pourrait annoncer le début de l’offensive de la Chine sur le marché automobile de l’ASEAN.
Le limogeage de Liu Fulian, ancien commissaire politique de la Force de soutien stratégique (FSS), intervient plusieurs années après des faits présentés comme établis. Sa disgrâce est-elle un épisode à part de la campagne anticorruption de Xi Jinping ? À ce jour, à l’exception de la conduite publique de Liu Fulian jugée maladroite et le passif relationnel de Tang Can, chanteuse de la Troupe artistique des camarades de la Région militaire de Pékin, avec Bo Xilai, il n’y a pas d’informations disponibles expliquant clairement le pourquoi de la corrélation entre l’attitude de Liu Fulian et son limogeage de la FSS. D’une manière générale, les tenants et aboutissants des rivalités entre personnalités et cliques sont d’une grande complexité et opacité sans oublier le caractère violent des confrontations. C’est ce que nous allons voir ici à travers le processus de la campagne anticorruption et l’épisode Liu-Tang.
La préparation du congrès de l’automne commence par l’élection des délégués. Elle doit être achevée fin juin 2017. Le Parti mène une politique de communication pour assurer la réélection de Xi Jinping.
La participation de Sylvie Goulard, ministre des Armées, a été confirmée au Dialogue Shangri-La. L’événement, qui se tient comme tous les ans depuis 2002 à Singapour, réunit depuis ce vendredi 2 juin et jusqu’au dimanche 4 juin, les ministres de la Défense des pays de la région ainsi que des experts sur la sécurité asiatique. … Lire la suite