Glasgow – COP26 :  Asie et forêt tropicale. Accusées, levez-vous ! Quand on confond les fins et les moyens

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La COP26 s’est réunie à Glasgow à la suite du G20 à Rome, en l’absence de Xi, Poutine, MBS, Bolsonaro. On salue le retour des États-Unis qui s’octroient le leadership des opérations et donnent des bons points aux uns et des remontrances aux absents. Les experts constatent que les engagements de Paris ne sont pas tenus mais on promet de faire les  best efforts pour les tenir dans l’avenir. Charbon et déforestation ont concentré les attentions, tous deux voués aux gémonies avec l’Asie coupable de s’être mal développée en utilisant les maléfices de ces 2 démons. Ce ne sont que des moyens de développement dont il faut contrôler et non interdire l’utilisation. Peut être faudrait il se développer autrement avec en priorité la réduction des écarts de richesses… et des gaspillages (encadré 1).

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Chine – États-Unis : Écologie pour éviter le piège de Thucydide

À Anchorage, les 2 premières puissances mondiales ont montré aux yeux du monde leur complet désaccord. Émissions de CO2 par pays ou per capita, chacun accuse l’autre d’être le premier. La décarbonation entraîne une couteuse réorientation des économies. Les pays pauvres risquent d’en pâtir et c’est peut être là que se trouve le danger pour demain. La marge de manoeuvre américaine est faible.

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Loin de racheter le monde, la Chine investit moins : une tendance structurelle ?

Mike Poon, Pdg du groupe chinois Casil Europe, qui détient 49,99 % des parts de l'aéroport de Toulouse-Blagnac depuis 2015, va les vendre au groupe français Eiffage. (Source : La Tribune)
Mike Poon, Pdg du groupe chinois Casil Europe, qui détient 49,99 % des parts de l’aéroport de Toulouse-Blagnac depuis 2015, va les vendre au groupe français Eiffage. (photo source : La Tribune)
Ces quarante dernières années, l’émergence économique de la Chine a fait craindre un véritable raz-de-marée. Ses produits « envahissent les marchés », ses entreprises « rachètent le monde » et l’empire du milieu devient le « banquier du monde ». Sur ces trois fronts, la vague chinoise est en plein reflux.

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