La vie sur terre ou le paradoxe des ppm

La vie et la mort sont intimement liées dans un cycle « vie – mort » régi par la loi de Lavoisier : « rien ne se perd, rien ne se créée, tout se transforme. » Le meilleur moyen pour mesurer les différentes formes de vie sur terre consiste à étudier l’élément universel commun à tous, le carbone C et suivre son mariage multiforme avec son ami l’oxygène… tout en sachant que la vie terrestre est fondamentalement une question énergétique avec un grand maître depuis toujours, le soleil.

Jamais l’homme, par son intelligence liée à la gestion de sa mémoire, n’a été créature aussi puissante pour construire/détruire… et aussi fragile, avec ses 110 ppm de C de biomasse et ses 350-450 ppm de CO2 dans l’air, pour vivre donnant sens à l’affirmation de Chris Bowler : « Si l’humanité disparaissait demain, la planète pourrait s’en remettre rapidement. »

 

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