Comme dans tous ses ouvrages : distanciation amusée (finalement assez british) et écriture savoureuse. La recette ? Peut-être celle des surréalistes: provoquer une étincelle par le rapprochement bellement incongru de deux mots ou deux idées totalement étrangers, comme elle-même, comme ces « enfants bananes » du XIIIe arrondissement de Paris: « jaunes dehors et blancs dedans ». Ou, en ce qui la concerne, l’inverse ?
Jean Hourcade, Asie21
1 réflexion au sujet de « Ni d’Eve ni d’Adam, Amélie Nothomb, Albin Michel, 2007 »
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